3 images de liberté.
Je les fouille jusqu’à la trame,
ces 3 images là. Depuis des années, des siècles. Sans m’en lasser, elles
conservent leur pouvoir, leur charme magique. Pour moi : totalement
elles représentent l’affranchissement, l’élargissement de soi même. D’échappée
belle.
De fugitifs de l’intérieur.
De fugitifs de la maison.
La possibilité d’un îlot.
/
Les vêtements n’y comptent pas
ici, mais le vêtement peut jouer ce rôle, du dehors, du « hors »,
d’être hors d’atteinte. C’est la tenue de Marguerite Duras dans “l’Amant”,
c’est celles de Frida Kahlo, celles de Carla Sozzani, celles de Katherine
Hepburn.
Ce rôle de l’immunité face à
l’abri, face à l’accoutumance.
Ce rôle de s’extrapoler
soi-même, d’extrapoler ce que l’on a au dedans.
D’être déplacé (dans les deux
sens du terme). Et de s’aboutir.
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